Processo di politicizzazione e d'emancipazione
L’operaio François sottolinea che:L’avènement de la République a étonnamment grandi l’homme en quelques jours ; chacun connaît ses droits et les revendique. Les exploiteurs ne sont plus possibles, parce que les exploités ne sont plus craintifs, ni patients (Gossez, Les ouvriers de Paris, 48).
Secondo Gossez :
Ce sentiment nouveau de leur force, commun aux ouvriers de 1848, s’aliment de la crainte même qu’il suscite chez les contemporains des autres milieux sociaux:
Chapeau bas devant le casquette
A genoux devant l’ouvrier!
(Ibid., 49)
Dupont si esprime così sul giugno ’48:
Il faut mourir, mourons c’est notre faute
Courbons la tête et croisons-nous les bras
Notre salaire est la vie, on nous l’ôte
Nous n’avons plus des droit de vivre ici-bas.
… Nous gênons ceux qui peuvent se nourrir
A ce banquet nous n’avons plus de place
Il faut mourir!
E Gille scrive queste strofe in Mineurs d’Hutzel:
Enfants qui vivez sous la terre
Et séparés du genre humain
[…]
Riche ou pauvre devrait-on naître
Pourquoi ces démarcations.
Egaux en droit on devrait n’être
Que le fils de ses actions.
Nous ne voulons pas le partage
Mais c’est injuste l’héritage…
Il processo di emancipazione allontana l’operaio dalla religione:
Aux riches [Les rêves envolés], 1845
Air : Le papillon qui respire la rose ([Léopold] Bougnol)
[…]
Dans l’avenir espérer! Vieil adage.
Je vous, fouillant au cœur le genre humain,
Dans l’ouvrier le serf du moyen age,
Qui descend, lui, de l’esclave romain ;
De tous les temps, c’est le même équilibre,
Par les plus forts les faibles sont foulés.
J’osais rêver un peuple heureux et libre,
Tous mes rêves sont envolés.
J’avais rêvé le christianisme,
En proclamant la douce charité,
Dans tous les cœurs éteindrait l’égoïsme
Et sauverait la pauvre humanité.
Mais, j’ai maudit les gens à robe noire,
Au sanctuaire ils ses sont attablés,
J’avais un Dieu, je n’ose plus y croire,
Tous mes rêves sont envolés.
Maintenant – 1848 : Le Climat, les Faits, les Hommes, 445
Ibidem.
H. Schneider, La république clandestine (1840-1856), 69.