Rapporto con il padrone
Louis Voiltelain, Les vieux prolétaire - 1840
Soixante hivers ont affaibli ma vue,
Soixante hivers ont énervé mon bras;
Ah! c’en est fait: ma vieillesse éperdue
N’espère plus en des maîtres ingrats.
Las! du coteau qui me servait de couche
Les vents du nord ont flétri le gazon;
Hommes du roi, si le malheur vous touche,
Accordez-moi le pain de la prison.
[…]
J’avais un fils; il était à l’armée
Quand, vers le Rhône, en des jours deTerreur,
Des ouvriers la menace affamée
De leurs patrons provoqua la fureur;
Contre le plombe, le fer et le salpêtre,
Le pauvre agneau défendait sa toison!...
Mon fils est mort en protégeant le maître;
Accordez-moi le pain de la prison
Chant des Cérusiens
Air de l’auteur; Nous somme en croisière
[…]
En voyant le scandale
Qu’excitent nos excès,
La sévère morale
Va nous faire un procès.
Pour des maîtres avides,
Perfides,
Cupides,
Nous jouons la santé,
Et la société
Souffre nos suicides.
Enivrons-nous, amis,
Sans souci
Ni remord,
Demain dans le travail nous puiserons la mort
Questo aspetto è trattato anche da Louis Blanc:
Così il principio disumano della concorrenza ha portato i suoi frutti ! Così sotto il governo imbecille del laissez-faire e del laissez-passer è incominciata la guerra fra il maître e l’operaio, guerra piccola in origine ma di portata sublime; perché doveva avere come risultato finale di completare le vittorie del Vangelo, attraverso l’abolizione del proletariato, seconda forma di schiavitù. Questa portata delle coalizioni, i ministri avevano la vista troppo corta per comprenderla. Nei sintomi di una prossima rivolta del mondo, nei primi trasalimenti di una razza proclamata libera eppure asservita, la loro ignoranza vide solo dei tentativi faziosi e venne così organizzato un vasto sistema di arresti (Roggero, L’alfabeto conquistato, 37).