Storicamente. Laboratorio di storia
Creazione di una nuova coscienza
Gille in Paris espère - Air: Amis, chez nous la gaîté renaîtra (Béranger) :

Quand des martyrs de Thermidor
Tomba la tête,
Adieu notre conquête.
Juillet fut trompeur effort,
D’autres jours périrent encor,
Prépare tes habits de fête.
Le grain semé tôt ou tard germera,
La liberté dans tes murs reviendra.
[…]

Altaroche nel 1837 scrive:

Bonne France est-ce toi
Qui caches dans la boue
Sous un manteau de roi
Ta robe qui se troue ?

Oh non, non, non,
Vous n’êtes plus la France.
Silence
Non,
Ne portez plus ce nom.

Tu montras en juillet
Bien plus noble apparence,
Alors ton front brillait
De joie et d’espérance
Oh non…, etc.

Ton peuple transporté
Criait avec ivresse :
Vive la liberté,
Vive à jamais la presse.
Oh non…, etc.

Vingt peuple insurgés
Voulaient te faire escorte
De fers ils sont chargés
Et la Pologne est morte
Oh non…, etc.

Ce bonheur si vanté
A passé comme un songe
Te chanter en vérité
N’est qu’un triste mensonge
Oh, non…, etc.

Au drapeau redouté
Que ton bras faible étale
Le blanc seul est resté
Encor c’est un blanc sale
Oh non…, etc.

Argomenti che ritroviamo in queste strofe di Leroy del 1840:

… Les héros de juillet
Sortant sanglants du pied de la colonne
Viendraient chercher ce soleil qui brillait
Quand ils sont morts en brisants la couronne.
Ils s’écrieraient: Rendez-nous les lambeaux
Sont en juillet nous vous fîmes l’aumône
Avec nos os on a clé le trône.
Ah! se les morts sortaient de leurs tombeaux!

Nel febbraio 1848 Alais scrive Vive la République:

Salut O Vierge populaire
Salut sœur de la liberté
…Vive à jamais la République.

Adieu donc juillet tricolore
Adieu ton règne est effacé
Un nouveau règne vient d’éclore
Oui doit racheter le passé
Mânes sacrés de la gloire civique
Puissiez-vous dire au Peuple souverain
Du fond de vos tombes d’airain
Vive à jamais la République

Irlande, Allemagne, Italie
Peuples si longtemps outragés
Allons, que ce cri vous êtes vengés
Car nous avons sur la place publique
Brûlé le trône et nos voix s’élevant
Quand on jetait ses cendres au vent
Criaient: Vive la République.