Alain Faure riassume in questa maniera le varie possibilità per trovare un alloggio che si presentavano ad un lavoratore nella Parigi del XIX secolo: «Vous arrivez à Paris et vous trouvez sans trop de peine un hôtel, pardon : un garni, dans vos prix, si tout est plein, vous ne manquerez d’apprendre que le boutiquier d’en face loue quelques chambres meublées dans l’immeuble sur cour, dont une se trouve être libre précisément. Pourquoi ne pas la prendre, n’est-ce pas s’éviter tout le tintouin de l’hôtel ? mais il se peut aussi qu’on vous dise que dans une maison pas loin, un ménage d’ouvriers, au troisième, a un petite pièce à louer dans son logement et que le pensionnaire qu’ils avaient justement de partir. Il se peut encore que vous arriviez armé d’adresses de compatriotes ou bien de coreligionnaires, bref de gens que vous connaissez déjà sans le avoir jamais vu et qui, vous en avez la certitude, accepteront de se serrer pour vous céder un bout de chambre, ou ne serait-ce qu’un simple lit, le temps que vous vous retourniez»[Faure e Lévy-Vroelant 2007, 66].