Simone Delattre, parlando della figura del marchand de vin, sostiene che «la boutique du marchand de vin est un lie d’échanges, d’amusement, mais aussi un élément indispensable dans la structure horaire et alimentaire des existences populaires, en un temps où la cellule familiale n’est pas encore close sur elle-même et où la « porosité » du temps de travail est encore forte (la journée est très longue, mais on peut y manager des temps de pause, recueillis par le cabaret du coin). C’est peut-être en s’attardant là jusqu’à des heures très avancées de la nuit que l’on peut se donner l’illusion de la liberté et de l’impromptu». [Delattre 2000, 148].